L’Inde et Moi

J’aime l’Inde, pour celles qui me suivent depuis le début, je l’avais déjà expliqué dans un article (lointain). J’y suis jamais allée, et pourtant. Si je me souviens bien, le premier truc dont je me suis passionnée, c’était les « bindies » ou « tika ». Ces autocollants colorés que les indiennes se collent sur le front. J’étais au collège, et le bureau de tabac vendait quelques planches. Curieuse, j’en ai acheté. Je l’ai encore, il reste quelques vieux bindies non-utilisés collés dessus : ). J’avoue que plus tard, avec ma N’Elo, on s’en est collé pas mal, de bindies sur le front : )
Et puis, j’ai toujours aimé les couleurs vives, et toutes les couleurs surtout. Je suis dingue d’épices, et j’adore en abuser. J’ai un faible pour le thé, et le chaï aussi.
Récemment, depuis que j’ai du mal à soigner mes cervicales, je fais du yoga tous les matins et j’essaye de débloquer mes chakras. Ça vous fait rire ? Moi j’ai pas rigolé quand le médecin m’a dit « je sais plus quoi faire pour vous ». J’essaye d’apaiser mon esprit, pour que mon corps se relâche. Enfin Bref.

La nouvelle collection « India »

Il y a quelques temps sur la page Facebook MPA, je vous avais montré mes médaillons indiens, réalisés à partir d’illustrations traditionnelles. Enfin, ils ont servis à fabriquer les premiers bijoux « India » : des bracelets et des boucles d’oreilles pour commencer. Avec leurs jolies breloques Eléphant, Buddha et Grand Soleil, ces bijoux sont vraiment mignons : )
Vous pouvez les retrouvez dans la sous-catégorie « India Collection » de la boutique MPA. 

• Il y a 3 bracelets, avec des combinaisons de médaillons différents. 2 exemplaires de chaque, ça fait 6 bracelets au total. Prix : 16€
• Et 4 paires de boucles d’oreilles, avec 4 sortes de médaillons différents. Seulement 1 exemplaire de chaque paire est disponible. Prix : 10€

Et ensuite…

Je vais préparer d’autres bijoux pour cette collection, en partenariat avec une artiste passionnée et passionnante dont je vous parlerais l’instant voulu. Restez connectée : )

Des bisous,

La Peste